Chers visiteurs et visiteuses,

Le moment me semble propice aux échanges et c'est tout naturellement que je veux partager avec vous ces quelques jours qui nous séparent des fêtes de fin d'années!

Pour beaucoup d'entre vous, elles le seront dans le joie du bonheur partagé.
Pour d'autres elles seront ce qu'elles seront...

Mais pour d'autres, pour malheureusement beaucoup d'autres, elles seront synonymes de souffrance voire de grandes souffrances...

Bien sûr, nous ne sommes pas responsable de toute la souffrance du monde et nous ne pouvons pas davantage la porter toute entière et pas plus la résoudre...
Pourtant, devons nous rester les bras croisés?...
Devons nous fermer les yeux et les oreilles pour ne, ni les voir ni les entendre?...

Partout autour de moi, je vois le pour et le contre...
Ceux qui se dévouent sans compter, ceux qui souffrent de ne pas pouvoir faire plus ou de ne rien pouvoir faire du tout...
Et puis ceux qui considèrent que ça commence à bien faire de se faire rabattre les oreilles de toute cette souffrance comme si on était responsable...
J'entends dire que les médias nous barbent avec leur misérabilisme aux moment des repas, de toutes ces émissions télévisées de toutes ces manifestations...

Que répondre à tous ceux là?...
Qu'ils ont systématiquement tort?...

Qu'il n'est pas possible de leur donner raison,...

Que parfois il est possible de penser comme eux pour une situation ou pour une autre...
La grande vérité est que notre société est au bord d'un grand bouleversement et que ce boulersement est "inéluctable", rien ne pourra l'arrêter...

Tout au plus pourras-t-il être retardé, mais il arrivera...

Bonsoir Monique,

Je suis content d'avoir de vos nouvelles.
Votre mari vous manque, et c'est vrai pour chaque personne qui voit partir un être aimé.
Son absence physique laisse un immense vide, fait apparaitre un insoutenable manque.
C'est à partir de là que commence le deuil.
Le deuil : un travail quelquefois long et difficile qui nous amène progressivement à l'acceptation de cette séparation puis à vivre à nouveau pleinement chaque instant du présent sans plus avoir besoin de nous référer au passé.

Deux aides dans cette démarche :
- d'une part le temps, qui en cicatrisant petit à petit les blessures, atténue progressivement vos souffrances. Et, sans jamais oublier, vous aide à mieux vivre avec l'épreuve que vous traversez.
- D'autre part, le nouvel état de votre mari, son bonheur d'avoir été libéré de ce corps terrestre que la maladie allait détruire, son bonheur de se retrouver dans un monde environné d'amour, baigné dans l'énergie amour de notre Créateur, doit aussi vous amener à vous réjouir pour lui.
Son bonheur doit progressivement appeler le vôtre.
Et bientôt, votre bonheur à son tour réjouira votre mari.
Car il ne vous oublie pas, il ne vous oubliera jamais : chaque fois que vous pensez à lui, chaque fois que vous lui envoyez de l'amour, chaque fois que vous avez besoin de sa présence spirituelle, il viendra à vos côtés pour vous soutenir et continuer de vous aimer.
Vous ne l'entendez pas, cela n'a rien d'étonnant : tout le monde sur terre n'a pas la faculté de "clairaudience" qu'ont certains médiums d'entendre clairement dans leur tête les êtres de l'au-delà qui leur parlent. Cependant, l'audition n'est pas le seul moyen de communication avec eux.
Les moyens sont extrêmement variés.
Cela peut aller de la simple "impression" venant du cœur, d'un concours de circonstances, d'un "hasard" qui fait apparaitre tel ou tel événement dans notre vie, parfois même d'un objet qui apparait ou change de place. La condition première est d'abattre vos barrières naturelles, faire silence intérieur, d'ouvrir votre cœur, l'ouvrir à l'amour de l'univers et l'écouter, ressentir cette énergie positive qui vous habite et vous incite à aller vers les autres, à avancer.

Difficile de changer de manière de penser à votre âge ?
Ne vous inquiétez pas. Certes les habitudes, les automatismes de l'éducation reçue sont tenaces et ont naturellement tendance à vous faire rester dans vos comportements acquis, synonymes de sécurité.
Mais, comme vous le dites vous-même : vous voyez les choses autrement.
Votre pensée va immanquablement piloter, entrainer l'évolution de votre comportement.
Bien sûr, tout ne se fait pas en un jour, mais la démarche est enclenchée et rien ne l'arrêtera.
Cela commence par une prise de conscience, puis dans la durée avec votre volonté d'évoluer, d'aller de l'avant : l'échec est impossible, la réussite est assurée; il n'y a que la vitesse avec laquelle nous évoluons qui peut varier.

Je réagis quand vous dites "vous sentir coupable", "vous en vouloir". Non, il ne "faut" pas ! (facile à dire, mais plus difficile à mettre en pratique).
Pourquoi ? Parce que les regrets vous enchainent au passé, vous empêchent d'avancer, de progresser.
Vous l'avez laissé porter seul sa maladie, et il l'a accepté.
Je suis plus que certain qu'il ne vous en veut pas.
De là où il est maintenant, il ne peut plus, il ne peut pas vous en vouloir : il est dans un monde baigné par l'amour. Il ne peut que vous aimer, comme vous êtes, telle que vous êtes, avec vos actes, vos pensées.
Il n'y a vraiment rien à regretter.
Vos choix passés sont votre expérience, sont votre construction. Rien n'est à regretter.
Vous l'avez laissé porter seul sa maladie et vous auriez aimé mieux l'accompagner ?
Alors soyez sûre que dans les mois ou les années à venir vous aurez encore largement l'occasion d'accompagner une ou plusieurs personnes.
Soyez simplement à l'écoute, attentive aux êtres qui vous entourent ou que vous rencontrerez.
A respecter leurs idées, leur démarche, leurs besoins.
Et vous trouverez forcément votre place à leur apporter quelque chose : un sourire, une pensée, une oreille, une main…
La confiance est un bienfait qui se cultive jour après jour. La confiance en soi, comme la confiance dans les autres.

Enfin vous ne lui en voulez plus. C'est très très bien.
Cela vous soulage, et croyez bien que votre mari aussi en est soulagé.
Vos souffrances sont aussi un peu les siennes, votre guérison ne fait qu'ajouter à son bonheur.
Vous l'aimez et il vous aime. C'est une constante de l'univers : l'amour ne passera jamais !

Bien amicalement
Christian

Amis visiteurs et visiteuses,

Notre Assemblée Générale s'est déroulée ce dimanche passé et ce fût une excellente journée pour tous ceux et celles qui étaient là!
Tous les adhérents n'avaient pu être présent, mais le groupe que nous étions a été très actif et participatif.

Nous avons établi, entre autre, le calendrier de l'année 2013/2014, afin que chacun de vous puisse s'organiser à l'avance.
Vous en serez avisé par mail que vous fera parvenir le secrétaire d'ici peu.

Si la journée de dimanche était belle, l'humeur de notre assemblée l'était aussi et le bonheur de nous retrouver ensemble n'avait d'égal que les joies que nous avons partagées...
Les nombreux projets mis en chantier ont été répartis et c'est avec le sentiment du devoir accompli dans la joie, que l'assemblée à pris fin vers 17H30 au grand regret de tous les participants! 

Bonne journée à tous et que la paix soit avec vous...

Association Spirite l'Ile d'Avalon